Le même texte critique d'Arnaud Talhouarn, vu et lu dans "Recours au poème" il y a peu, où est faite la démonstration de la poésie "païenne" de Guillaume Decourt, dans "Un ciel soupape" et aussi dans ses autres recueils, de même qu'une note de lecture de Guillaume Decourt : " Les empreintes de Seferis" dans le numéro 39, Automne 2013, des "Carnets d'Eucharis" :